Conclusions des études in vitro

À ce jour, les résultats d’études préliminaires in vitro ont été publiés sur le THCP. Les principales conclusions portent sur les trois points présentés dans ce paragraphe. Elles annoncent les bienfaits du THCP. Plus exactement, ces premières données suggèrent que le THCP possède un potentiel intéressant dans la gestion de la douleur et pourrait donc avoir des indications thérapeutiques dans ce domaine. Découvrez ses trois effets probables sur la santé humaine.

Affinité de liaison aux récepteurs CB1

Une étude in vitro a montré que le THCP avait une affinité de liaison pour les récepteurs CB1 et CB2 du système endocannabinoïde environ 30 fois supérieure à celle du THC. Cela suggère qu’il pourrait avoir des effets biologiques et psychoactifs très puissants. Le système endocannabinoïde intervient dans la régulation de divers phénomènes corporels, dont la douleur, l’humeur, l’appétit, et le sommeil.

Les effets analgésiques

Une étude sur des souris a révélé que le THCP avait des propriétés analgésiques. Son effet analgésique augmentait de manière proportionnelle à la dose administrée. En clair, il y a une relation dose-dépendante : plus la dose est élevée, plus l’effet analgésique est important. Son efficacité analgésique semblait supérieure à celle du THC à dose équivalente. Le THCP pourrait être efficace dans le soulagement de la douleur chronique. Les cannabinoïdes comme le THC sont déjà utilisés dans ce domaine, mais avec des résultats limités ou une nécessité de doses élevées.

Les effets sur l’activité locomotrice

Dans cette même étude sur les souris, le THCP a montré des effets inhibiteurs sur l’activité locomotrice. Cette caractéristique suggère un potentiel effet sédatif ou relaxant musculaire.

Les effets sur la température corporelle

Toujours chez les souris, le THCP a provoqué une baisse de la température corporelle (hypothermie). On reconnaît là un effet typique des cannabinoïdes psychoactifs.

D’autres effets potentiels

Les effets sur le cerveau

L’interaction avec les récepteurs CB1 a un effet sur la libération de neurotransmetteurs qui sont à l’origine de la régulation de l’humeur. Le THCP pourrait donc avoir un potentiel dans le traitement des troubles de l’humeur, comme la dépression et l’anxiété.

Le THC est connu pour stimuler l’appétit. On retrouve aussi cet effet avec le THCP où il est potentiellement amplifié en raison de sa plus grande puissance. Cette caractéristique pourrait être utile pour les patients souffrant de perte d’appétit.

Les effets neuroprotecteurs des cannabinoïdes font l’objet d’un grand nombre de recherches. Les chercheurs voient dans cette substance la possibilité de ralentir la progression de maladies neurodégénératives. Le THCP, grâce à son interaction avec le système endocannabinoïde, pourrait offrir de nouvelles voies de recherche dans ce domaine.

L’effet sur la réponse inflammatoire

Diverses études ont montré les propriétés anti-inflammatoires des cannabinoïdes. L’inflammation est la défense naturelle de l’organisme contre les infections, les blessures ou les toxines. Elle élimine l’élément nuisible et initie le processus de guérison. Cependant, une inflammation excessive ou prolongée engendre diverses maladies chroniques, dont le diabète, et certaines formes de cancer. Il est donc fondamental de réguler ou d’équilibrer la réponse inflammatoire du corps. On l’active quand c’est nécessaire pour protéger le corps. On la limite ou on la supprime pour prévenir les dommages tissulaires excessifs et les maladies chroniques liées à une inflammation prolongée. Le THCP pourrait aider à équilibrer la réponse inflammatoire plus efficacement que d’autres composés. Il réduit l’inflammation excessive sans inhiber complètement la capacité de l’organisme à se défendre contre les infections et les blessures. Il pourrait donc être bénéfique dans le traitement de maladies inflammatoires chroniques.

Préparez vos obsèques

Anticiper ses obsèques, c’est prévoir leur financement et choisir les prestations. Dans cette optique, un grand nombre de personnes se contentent de rassembler le capital nécessaire à leurs funérailles pour que leurs enfants ou les membres de leur famille aient de quoi les organiser. Mais si vous, vous souhaitez anticiper vos obsèques, vous devez agir avec précision. Vous pouvez adhérer à une offre contrat d’obsèques.

Un contrat d’obsèques est un contrat de prévoyance très complet. Il permet de soulager vos proches des charges financières liées à vos funérailles et à des questionnements sur leur organisation. Le contrat comprend vos choix sur les points suivants :
• L’inhumation ou la crémation et l’endroit où cet événement va se dérouler,
• Le type de cercueil ou de l’urne,
• Le genre de cérémonie pour vos obsèques : cérémonie religieuse ou civile, le lieu où les membres de votre famille et vos amis vont se rassembler, etc.
• La personnalisation de la cérémonie : les fleurs, la musique, le corbillard, etc.

Grâce à ce contrat, vos dernières volontés vont être respectées.

Anticipez votre succession

Cette partie n’est pas aussi dérangeante que la première. De nombreuses personnes préfèrent en effet désigner de leur vivant leurs héritiers. Vous pouvez également anticiper votre succession pour :
• Repartir selon votre souhait vos biens entre vos proches ou écarter certains membres de votre famille. Sur odella.fr, vous pouvez en savoir plus sur la transmission de votre patrimoine.

• Diminuer les droits de succession : vous pouvez faire une donation à vos enfants, à votre conjoint/conjointe et à vos autres héritiers et profiter d’abattements fiscaux.

• Limiter les conflits entre les membres de votre famille : vous pouvez rédiger un testament afin d’éviter les litiges sur ce que chacun va recevoir. Vous pouvez même faire signer un pacte de famille à vos enfants si vous voulez avantager l’un d’eux afin qu’ils ne remettent pas en cause votre volonté après votre départ.

Organisez votre mort numérique

Vous n’avez peut-être pas encore pensé à la mort numérique, mais le fait est qu’après votre départ, vos comptes sur les réseaux sociaux survivent et vous laissez des traces sur Internet. Que va devenir votre identité numérique après votre décès ?

Il y a une solution que vous pouvez envisager pour protéger vos données numériques sensibles. Vous pouvez vous rapprocher d’un notaire qui va s’assurer de les sécuriser, sans que personne ne soit au courant de leur existence. Quant à vos autres empreintes numériques sur le web, vous pouvez les laisser à vos héritiers en signant un contrat avec le prestataire. Cela dit, ils n’en deviennent pas titulaires, ils ne vont avoir qu’un droit d’usage. Ils peuvent laisser vos comptes tels quels ou reprendre leur contrôle et les fermer :

• Avec Facebook, Linkedln et Instagramm : vos proches n’ont qu’à signaler votre décès et votre compte se transforme en compte de commémoration. Ils peuvent le gérer et le sécuriser et y partager des souvenirs.

• Avec Google : vous pouvez anticiper votre mort numérique en confiant la gestion de vos données à l’un de vos héritiers. Vos proches peuvent également clôturer votre compte et récupérer ses données après avoir déclaré votre décès.

• Avec Twitter : les membres de votre famille ou vos amis de confiance peuvent supprimer votre compte via un lien.

Le fonctionnement de l’hypnothérapie

Vous serez traité par l’hypnose durant l’hypnothérapie. En fait, vous serez plongé dans un état de conscience modifiée, entre la pleine conscience et le sommeil. Vous serez coupé du monde extérieur. Vous ne penserez plus à rien. Cet état vous permet de vous ouvrir aux suggestions de l’hypnothérapeute. Vous vous concentrez, à l’aide de sa voix, sur votre problématique. Ainsi, vous pouvez faire face à vos peurs. Toutefois, l’expert ne vous imposera pas une direction à suivre. Même s’il est doué, il n’arrivera pas à vous faire faire un acte contre votre volonté.

Vous devez aussi savoir qu’il y a divers types d’hypnose, à savoir l’hypnose classique, l’hypnose spirituelle, l’hypnose humaniste, etc. L’hypnose Ericksonienne est l’une des méthodes pratiquées par cet hypnothérapeute à Paris 7. Cette thérapie est sans risque. Mais dans quel cas devez-vous alors recourir à l’hypnothérapie ?

Faire appel à hypnothérapeute

Si vous n’arrivez pas à gérer votre stress et que celui-ci s’est transformé en anxiété chronique, vous pouvez faire appel à un hypnothérapeute. Cet expert saura aussi vous aider à affronter votre phobie. Grâce à son intervention, votre confiance en soi sera boostée. Il vous aidera à améliorer votre communication et vos capacités (calme, lâcher-prise, concentration, etc.). Vous pouvez solliciter un hypnothérapeute si vous devez également préparer un examen ou une épreuve importante.

L’hypnothérapeute peut aussi vous accompagner dans votre lutte contre le tabagisme et l’addiction à l’alcool. Il peut intervenir si vous avez des troubles du comportement, des troubles sexuels, des troubles de l’alimentation, des problèmes conjugaux, etc. Il peut même vous accompagner durant une chirurgie. Bref, l’hypnothérapie peut être utilisée dans de nombreux champs.

Les informations sur le défunt

En cas de décès dans une famille, l’avis de décès est le moyen le plus efficace pour communiquer des informations, entre les membres ou entre les connaissances du défunt. Les indications contenues dans l’avis nécrologique peuvent partager le déroulement des funérailles.

Il se peut aussi que la famille choisisse d’y ajouter quelques informations, anecdotes ou histoires marquantes à propos du défunt. Par exemple, elle peut commencer par y inscrire le nom, le prénom, la dernière volonté ou encore les circonstances de la mort du défunt. Il est aussi très courant d’y mettre le nom de jeune fille s’il s’agit d’une femme mariée afin que les amis de cette dernière puissent l’identifier dans l’annonce.

Les informations sur la cérémonie d’inhumation

Comme pour l’information sur le défunt, l’avis de décès doit contenir principalement la date, l’heure, et le lieu de l’enterrement. Quant à la veillée funèbre, c’est à la famille de décider d’y mentionner s’il va y en avoir ou non.

L’avis nécrologique doit également mentionner des détails sur le déroulement de la cérémonie d’inhumation, religieuse, civile ou de crémation. La famille peut aussi y préciser le type de fleurs à apporter si le défunt l’a exigé et comment procéder sur la présentation des condoléances à la famille. Et en parlant de détails sur l’inhumation, sur carnetducalvados.fr, vous pouvez en trouver plusieurs.

Remerciements de la famille endeuillée

Une fois les obsèques terminées, la famille doit témoigner de la reconnaissance envers les proches et les amis qui sont venus pour les soutenir. Pour cela, ils peuvent envoyer des cartes de remerciement, des emails ou les remercier en personne. Toutefois, sur l’avis de décès, la famille peut tout aussi bien mettre à la fin un message de remerciement.

Impact psychologique optimal

Il faut l’avouer : perdre un sein peut être à l’origine de traumatisme psychologique pour toutes descendantes d’Ève. En effet, les seins représentent (sans certainement le vouloir) le glamour et la sexualité pour la gent féminine. Sans ces atouts, l’estime de soi en tant que femme et la peur d’être moins attrayante seront certainement au rendez-vous.

La procédure de reconstitution aréoles mammaires sera donc en premier lieu, ultra-bénéfique, sur le plan psychologique. S’agissant de restaurer une partie corporelle qui jouit d’une importance capitale chez la femme, l’impact psychologique à la suite de cette amélioration ne pourra qu’être optimal. Le sentiment d’attractivité, une diminution de l’anxiété et de la dépression ainsi que l’éradication des complexes chez les patientes seront palpables. La qualité de vie tendra à s’améliorer chez les femmes qui ont subi une chirurgie reconstructive à travers les années.

Résultat indétectable et à long terme

La procédure de reconstitution aréoles mammaires réalisée par un professionnel permet également d’avoir un résultat naturel. Dessinée selon la taille, la forme et la position initiale, cette opération permettra de disposer d’une chirurgie indétectable. Les contours ; couleurs et nuances utilisées pour la réparation mammaire seront également indélébiles, pour le grand bonheur des patientes.

L’apparence finale du sein à la suite de la reconstitution sera donc la plus proche possible du mamelon et de l’aréole naturels avant le diagnostic de votre cancer du sein. Après seulement quelques semaines d’attente, la patiente pourra retrouver une vie normale comme aller à la plage ou à la piscine. Quelques retouches peuvent être préconisées dans les 3 à 6 mois qui suivent l’opération.

Procédure non douloureuse

La reconstruction la plus sûre et la plus efficace se fait à partir de la technique de micropigmentation. Il s’agit de l’implantation de petites quantités de pigment naturel (colorant) au moyen d’une aiguille stérile spéciale dans la couche superficielle de la peau pour créer une couleur permanente correspondant au mamelon existant. Les clients pourront choisir la couleur de leur mamelon/aréole avec le chirurgien avant le début de l’intervention.

Réalisée grâce à un équipement similaire à celui utilisé par un tatouer, cette opération est relativement rapide et simple. De plus, la reconstitution d’une aréole mammaire ne nécessite qu’une anesthésie locale et n’a pas besoin de grands traitements post-micropigmentation. En effet, cette technique ne sera à l’origine d’aucune cicatrice puisque les couleurs seront injectées au niveau du derme à travers de simples piqûres d’aiguilles. Cependant, la même intervention pourra être répétée ultérieurement au besoin. Dans la majorité des cas, la procédure est réitérée si la peau tatouée a été utilisée pour reconstruire le bourgeon de mamelon ou si la couleur s’est estompée ou est inégale.

La micropigmentation est principalement utilisée pour simuler la couleur, la forme et la texture de la zone entourant le mamelon (appelée aréole). D’un côté, l’option 3D produit des variations plus profondes du pigment pour simuler l’aspect et la texture d’un mamelon et d’une aréole naturelle.

Enfin, contrairement aux autres méthodes de reconstitution d’aréoles mammaires, la dermopigmentation n’utilise pas de greffe de peau, tout en gardant une apparence naturelle à vos seins.

Les plantes du sommeil

C’est sûr, certaines plantes sont hautement efficaces et vertueuses pour mieux dormir. La lavande a un pouvoir apaisant et peut traiter les problèmes de sommeil tout en réduisant l’anxiété. Versez quelques gouttes d’huile essentielle de lavande sur votre taie d’oreiller ou sur le revers de votre pyjama, vous profiterez aussitôt de leur effet apaisant. La camomille fait aussi partie des plantes du sommeil, en tisane ou en huile essentielle, elle vous aide à retrouver une nuit de sommeil reposante. Le choix est grand entre la valériane, la mélisse ou la passiflore pour ne plus souffrir des troubles d’insomnie.

Une thérapie

Suivre une thérapie comportementale et cognitive peut également vous aider à guérir de vos problèmes d’insomnie. Un spécialiste vous aidera à rééduquer votre cerveau pour qu’il se remette à se reposer normalement et naturellement, sans avoir besoin de médicaments. Cette thérapie prend du temps, environ deux mois, mais elle fonctionne. Un psychologue ou un psychiatre vous rappellera comment faire pour préparer votre cerveau à l’endormissement, quelles conditions mettre en place pour cela. Vous comprendrez pourquoi il faut maintenir la température de votre chambre plutôt fraîche, l’importance de faire du sport, d’avoir un bon matelas et de prendre un bain bien chaud. Surtout, ne minimisez pas vos problèmes d’insomnie, vous avez besoin de dormir suffisamment et bien.

Quelles sont les précautions à prendre pour éviter la chute des greffons ?

Nombreuses sont les consignes à respecter pour éviter la chute des greffons après la greffe capillaire. Tout d’abord, éviter de toucher les greffons durant les cinq premiers jours qui suivent l’intervention. Puis, faites bien attention de ne pas trop bouger votre tête de manière brusque. Il est déconseillé de vous pencher la tête vers l’avant très longtemps. Arrêtez également toutes vos activités sportives. Il est préconisé d’attendre au moins une semaine avant de reprendre. Ensuite, n’allez pas chez le coiffeur au cours des deux premières semaines après la greffe. Et enfin, ne pas pratiquer du sauna et du hammam durant au moins 15 jours suivant l’implantation. La chaleur ne convient pas aux greffons. Même le soleil est à éviter.

Comment se passe la repousse après la greffe capillaire ?

La greffe de cheveux turquie est une solution pratique et définitive contre la calvitie. C’est la raison pour laquelle elle est de plus en plus prisée.

A titre d’information, la repousse est possible après une greffe. Par contre, elle n’est pas instantanée. Elle prend du temps. Cela demande donc une grande patience.

Pour stimuler cette repousse, le patient peut utiliser des produits capillaires ou des médicaments.

Quid du temps de repousse ?

Les cheveux peuvent mettre plusieurs mois à repousser. Au bout d’une semaine après la greffe de cheveux, la zone donneuse commence à démanger et à s’irriter. De minuscules caillots de sang vont également apparaître sur la zone receveuse. Toutes ces gênes seront atténuées par la prise des anti-inflammatoires prescrits par le chirurgien, à part les caillots qui disparaîtront par les lavages. Après deux semaines qui suivent l’opération, les zones donneuses et receveuses changent de couleurs. Puis, à la quatrième semaine après l’implant capillaire, le sujet remarquera une chute assez importante de ses cheveux. Ce sont les greffons qui tombent, mais il n’y a aucune raison de vous inquiéter, c’est tout à fait normal.

Au bout de deux mois après la greffe, les cheveux commencent enfin à repousser mais de manière plus lente.

Entre quatre à six mois après la greffe, la repousse s’accélère. Les cheveux gagnent si bien en longueur qu’en épaisseur.

Entre 7 à 9 mois après l’intervention, les cheveux obtiennent plus de volume. Vous pouvez déjà imaginer le rendu final.

Et enfin, au bout d’un an après l’implantation des greffons, les cheveux atteignent la maturité. Les cheveux ne repoussent plus. Le rendu est définitif.

Rendez-vous sur ce groupe facebook pour vous informer davantage sur la greffe de cheveux.

Quels sont les facteurs de la dépression chez les adolescents ?

En tant que maladie dégénérative, les origines de la dépression sont nombreuses et variables. Elles sont généralement liées à l’environnement socio-éducatif de l’adolescent. En effet, le poids et les charges quotidiennes telles qu’une conjoncture familiale difficile ou une situation scolaire pesante sont des facteurs pouvant provoquer les cas de dépressions. Il en est de même pour les évènements difficiles comme la perte d’un être proche, la solitude, une peine d’amour ou un traumatisme causé par le divorce des parents, un accident, etc. L’accumulation de tels évènements sans le soutien de son entourage est un risque majeur qui peut causer de la dépression chez un adolescent.

Peut-on prévenir les cas de dépressions chez les jeunes ?

Il est tout à fait possible de limiter le risque d’épisode dépressif caractérisé (EDC) chez un adolescent. Pour cela, il faut créer un univers familial stable et éviter tout traumatisme et toute violence au sein du cadre familial. En effet, bien que vivre des expériences difficiles soit inéluctable dans la vie d’un ado, le sentiment de soutien familial permanent lui serait d’une grande aide et lui permettra de les affronter en toute quiétude.

Quels sont les traitements disponibles en cas de dépression chez les ados ?

La dépression est une maladie qui doit être prise en charge rapidement pour éviter tout risque d’aggravation. Il existe trois niveaux de traitements en fonction de la gravité de la situation de l’adolescent. Le premier est l’établissement d’un diagnostic chez un médecin généraliste et la prise en charge du patient. C’est un traitement psychothérapique qui inclut patient et entourage. Ensuite, recourir à l’usage de médicaments pour accompagner le processus de psychothérapie peut aussi être utile. L’objectif étant le renforcement de la thérapie si les symptômes de dépression persistent. Et enfin, dans un cas extrême, le troisième niveau consiste à l’hospitalisation de l’adolescent sur seul avis d’un (pédo) psychiatre.

Les causes de l’entorse lombaire

L’entorse lombaire peut apparaître après un cas d’accident ou un simple faux mouvement. Il est également possible qu’on se déchire les ligaments du bas du dos après une chute. Il faut toutefois savoir qu’il existe des individus qui sont plus sensibles et peuvent subir ce type d’entorse plus souvent que d’autres. C’est le cas des seniors et des personnes qui ont une zone lombaire considérée comme instable. Les personnes qui s’assoient de manière fréquente dans une mauvaise posture peuvent également être touchées par ce type de souci. Il faut aussi noter que même les sportifs ou ceux qui utilisent trop fréquemment la colonne lombaire peuvent être touchés par l’entorse lombaire. Il en est de même pour les personnes sédentaires, les femmes enceintes ainsi que les individus en situation d’obésité.

Les symptômes de ce problème de santé

Une personne atteinte d’une entorse lombaire va ressentir des douleurs intenses et fréquentes au niveau du bas du dos. En fonction de la gravité de l’entorse, ces douleurs peuvent être ressenties jusqu’aux fessiers et même au niveau des cuisses. L’individu va alors se sentir mal à l’aise. Les douleurs provoquent inconfort au patient lorsqu’il est debout ou assis et même, quand il est allongé. Cela va impacter sa capacité à se mouvoir. Les douleurs intenses vont limiter sa mobilité et l’usage de ses jambes. Il aura également du mal à s’assoir, mais aussi à se relever et à se pencher. Par ailleurs, le malade ne pourra pas maintenir une position spécifique trop longtemps sans ressentir une douleur au niveau de son bas du dos. Il faut aussi noter que le matin, au levé, le dos du malade sera particulièrement raide. Généralement, c’est durant cette période qu’on remarque le pic de douleur au niveau de la zone lombaire.

Comment diagnostiquer et traiter ce problème de santé ?

Pour diagnostiquer ce problème de santé, le médecin procédera tout d’abord à une évaluation en demandant au patient de répondre à quelques questions. En fonction du résultat de cette évaluation, le médecin peut prescrire des médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires. Il peut aussi recommander quelques jours de repos pour éviter que les ligaments s’étirent encore plus ou que les risques de déchirure s’aggravent. Si le problème persiste, le médecin peut conseiller au malade de faire des séances de physiothérapie.
Le physiothérapeute fera une évaluation physique du malade afin d’avoir un profil de sa condition physique, pour connaitre les zones endolories et l’intensité des douleurs. Avant de procéder aux soins et traitements, il fera également un point avec le malade, concernant ses antécédents médicaux. Ce sera seulement après qu’il va expliquer au malade comment il va procéder aux soins et traitements. Quant au plan de traitement, le physiothérapeute va tout d’abord procéder à la prise en charge de la douleur tout en travaillant la mobilité du patient. Trouvez plus d’informations ici sur comment soulager une entorse lombaire. En tout cas, pour traiter la douleur, le physiothérapeute propose 2 séances par semaine maximum. Ensuite, il travaillera la stabilisation du patient ainsi que le renforcement de son bas du dos. Le traitement se terminera par les actions de prévention pour éviter les récidives.

Les recommandations officielles

L’OMS comme tous les organismes de santé du monde recommandent tous d’éviter à tout prix la consommation de produits d’origine animale qui sont mal cuits ou crus. En effet, il a été établi que la viande (de porc, de bœuf, de chèvre ou autres), le poisson et le lait, s’ils sont crus, peuvent être source de contamination. Aussi, lorsque vous êtes au marché et que vous devez acheter de la viande, choisissez-la bien fraîche et une fois chez vous, lavez-la correctement, et cuisez-la longtemps. Autant que possible, évitez la manipulation d’animaux morts et évitez de toucher un animal qui n’est pas le vôtre, aussi mignon soit-il.

Qu’en est-il en réalité ?

Jusqu’ici, il semble que la transmission du virus COVID-19 par voie digestive directe n’est pas encore confirmée à ce jour. Mais les études relatives à ce virus continuent et on ne sait pas encore si cette affirmation sera maintenue dans l’avenir. Cependant, lorsque vous mastiquez de la nourriture, le risque que vos voies respiratoires soient infectées semble bien réel. Cela est possible si un aliment donné a été manipulé ou préparé par un malade ou une personne infectée. Mais rassurez-vous : comme le virus ne résiste pas aux températures élevées, alors, cuisez à haute température vos aliments pour écarter toute contamination par cette voie.